Les troubles de l’écriture manuscrite, ou dysgraphies, concernent 5 à 10% des élèves.
Les algorithmes développés, qui analysent un grand nombre de paramètres cinématiques à partir de ces traces écrites, ont ainsi permis de détecter les enfants dysgraphiques dans une population de sujets avec un rendement de 97%. Cette méthode est donc très prometteuse.